Exposition du samedi 5 au samedi 19 novembre 2005 « HARKIS, soldats de la France, soldats de l'Armée d'Afrique » Le Centre de Documentation Historique sur l'Algérie - CDHA
Inauguration officielle par Madame Maryse Joissains Députée-maire d'Aix-en-Provence
Madame Maryse Joissains Mansini
John Franklin
photo BEO story
             
Informatisation
des ouvrages du CDHA
L'indexation
L'indexation d'un texte consiste à repérer dans celui-ci certains mots ou expressions particulièrement significatifs (appelés termes) dans un contexte donné, et à créer un index Par exemple, les pages d'index d'un livre reprennent (parfois) les termes significatifs apparaissant dans le livre, et les relient aux pages du livre où ces termes (ou leurs synonymes) apparaissent. Ceci facilite pour le lecteur la localisation des pages ou sections où l'on mentionne un sujet particulier. De même, la table des matières d'un livre est une forme (assez grossière) d'indexation.
   
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Indexation
   
Indexation par la table des matières des ouvrages c'est la mauvaise solution choisie
par le C.D.H.A
Un exemple
     
     
             
 
 
             
   
L'indexation par la
table des matières

ne va éclairer
les chercheurs, les curieux
les lecteurs.
Ce n'est pas comme le titre de l'ouvrage regretté du Général Jouhaud :
Ce que je n'ai pas dit
Pour l'indexation CDHA
c'est
JE N'AI RIEN A DIRE
   
   
 
Voir aussi : Renouvellement du bureau du Collectif Aixois des Rapatriés , Robert Saucourt Président , un nouveau vice - Président John Franklin | lire la suite | - CDHA un départ vers Marseille ? - Tentative d’évasion du CDHA d’Aix en Provence vers Marseille ? | Lire la suite |- L'ARBRE QUI CACHE LA FORET - A PROPOS DE LA LETTRE INFORMATION DU CDHA N° 2. | lire la suite |- Echec de la création de base de données CDHA (Centre de Documentation Historique sur l'Algérie), Echec de la gestion de l'association.| lire la suite | CDHA
la délation érigée en système de gouvernement | lire la suite | - CDHA des statuts élaborés par les humanistes et honnêtes gens qui l'ont fondée mais dirigée en violation répétée de ces statuts, par un groupuscule d'affairistes. | lire la suite | - Les administrateurs du CDHA quittent le navire qui coule | Lire la suite |
 
   
 
Joindre John Franklin :
Téléphone : 04.42.95.19.51
Fax : 04.42.95.19.42
 
 
 

John Franklin quitte le CDHA ?

C’est le bruit qui circule en effet depuis quelque temps dans les locaux de la Maison Maréchal Juin à Aix en Provence.
Un administrateur de l’association a bien voulu répondre à nos questions.

Que se passe t il actuellement au CDHA ?

Récemment John Franklin s’est adressé par courrier aux administrateurs en évoquant l’attitude inique du Président et du Bureau qui  refusent depuis plus de deux ans d’acquitter une facture  à l’Association jeune Pied-noir sous de fallacieux prétextes – John Franklin estime que le CDHA se discrédite chaque jour un peu plus, faillit  à sa tache et ne remplit plus du tout son rôle.
Il concluait sa lettre en indiquant qu’il ne voulait plus cautionner cette dérive et la main mise d’une minorité nuisible.

A quoi correspondait cette facture ?

Aux frais  de transport, 600 euros je crois, des panneaux sur le thème «  Harkis, soldats de la France, soldats de l’armée d’Afrique »  par la société UPS. L’exposition, inaugurée par Madame Maryse Joissains Mansini Député Maire d’Aix en Provence (voir la photo de BEO Story), fut la dernière manifestation publique auquel le CDHA daigna participer.
J’ajouterais qu’une ultime proposition de règlement proposée par Monsieur Bernard Coll Président de Jeune Pied Noir, consistant à adresser un chèque de 300 euros au « Mur des disparus de Perpignan », fut considérée comme une injonction et dédaigneusement rejetée.

Que pouvez vous dire des autres griefs de Monsieur John Franklin.

D’abord qu’ils sont nombreux, étayés par des exemples concrets, et qu’ils émanent de la personne la plus à même de souligner les carences.
Par sa présence au quotidien depuis 9 ans, sa connaissance du fond documentaire existant et ses contacts avec les divers intervenants.
Je pense que John Franklin déplore l’inaction totale du CDHA ; intra ou extra – muros. De très nombreuses expositions réalisables en  partenariat avec des associations ou des particuliers n’ont  jamais vu le jour alors que la municipalité a souvent manifesté sa volonté de voir la salle Edmond Jouhaud constamment animée.

En ce qui concerne l’agrandissement récent des locaux  John Franklin fait aussi remarquer que tout a été fait pour décourager les visiteurs . Les anciens locaux clairs et accueillants ont été cloisonnés. Un guichet à l’entrée semble attendre les «  clients »  mais pratiquement plus personne ne se montre désormais 
Quant à la bibliothèque, qui comptait une trentaine d’emprunteurs chaque mois, elle accumule la poussière sur le mobilier inutile qui l’encombre, et ne voit plus que 2 lecteurs réguliers.



Et les adhérents dans tout ça ?

Mécontents pour la plupart d’être trop souvent sollicités pour " mettre la main au porte monnaie" (et ne recevant  rien en retour, une seule REVUE MEMOIRE VIVE en l’espace d’un an), ils renoncent à cotiser.
On peut essayer de " masquer " les chiffres mais ils n’étaient plus que 250 le 10 avril 2008.


On reproche à John Franklin  de s’opposer à l’informatisation.

Il vous répondra sans doute que cette entreprise très coûteuse, obtenu grâce aux subventions des pouvoirs publics, est totalement inadaptée et incapable de répondre aux demandes des rédacteurs d’ouvrages, aux chercheurs et aux étudiants.
Les exemples donnés par John Franklin sont édifiants pendant une de mes visites d'amitié malgré mon éloignement. Lorsque quinze, vingt, commentaires bibliographiques, études, photos existent dans la précieuse bibliothèque du CDHA.
Le résultat informatique de l’indexage approximatif de la base de données donne péniblement que deux réponses au maximum, et encore pas toujours.

Que disent les autres administrateurs ?

Certains sont très peu soucieux de s’informer vraiment ou ne veulent entendre que le discours « officiel » qui élude les réalités et promet des jours meilleurs.
Les administrateurs frileux ne remplissent pas leur rôle  et c’est d’autant plus dommage que des personnes dynamiques, n’ayant jamais cessé  de croire au CDHA, sont candidates pour s’investir dans un CDHA fidèle à l’esprit de deux fondatrices.
Ces candidats de longue date n’ont jamais reçu de réponse du Bureau.

Que devrait faire selon vous le conseil d’administration ?

Il faudrait un Conseil d’Administration  extraordinaire qui se conclurait par un vote secret, une sorte de motion de confiance « en quelque sorte »

Et alors ?

On constaterait que le Président est en nette minorité et on en tirerait les conséquences. On pourrait alors relancer le CDHA dans sa initiant en s’appuyant surtout sur des personnalités fiables et actives et concernées.

Pour en revenir à Monsieur John Franklin

Posez  lui la question  - son départ serait très préjudiciable, et regrettable, d’autant qu’il est soutenu par une majorité tant au CDHA, adhérents compris, qu’au Collectif Aixois des Rapatriés et bien au delà, sans compter l’estime que BEO Story porte à ce personnage pour son aide efficace dans  nos nombreuses recherches et illustrations des pages de BEO Story.